Salvatore Adamo
Si je t’oublie pendant le jour
Je passe mes nuits à te maudire
Et quand la lune se retire
J’ai l’âme vide et le cœur lourd...lourd
La nuit tu m’apparais immense
Je tends les bras pour te saisir
Mais tu prends un malin plaisir
A te jouer de mes avances
La nuit...je deviens fou...je deviens fou
Et puis ton rire fend le noir
Et je ne sais plus où chercher
Quand tout se tait revient l’espoir
Et je me reprends à t’aimer
Tantôt tu me reviens fugace
Et tu m’appelles pour me narguer
Et chaque fois mon sang se glace
Ton rire vient tout effacer
La nuit...je deviens fou...je deviens fou
Le jour dissipe ton image
Et tu repars je ne sais où
Vers celui qui te tient en cage
Celui qui va me rendre fou
La nuit...je deviens fou...je deviens fou
Fou...fou...
Source
Tuesday, September 8, 2009
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment